Jean-Paul Debeaupuis, Société d'Histoire du Vésinet (2024-2025)

Théophile Bourgeois (1858-1930) architecte

Lorsqu'il bâtit les villas qu'on lui connaît au Vésinet, Théophile Bourgeois bénéficie déjà d'une certaine notoriété. Il est architecte de la ville de Poissy, expert près des tribunaux et du Conseil de la Préfecture, architecte des communes de Mantes et de Versailles. Il a participé à de nombreux concours pour construire des édifices publics. En 1903, l’annuaire du bâtiment [1] indique que Théophile Bourgeois est « lauréat dans 42 concours publics ». Il concourt principalement en Île-de-France où il remporte le 1er prix à Conflans-Sainte-Honorine pour l’édification de groupes scolaires et de la mairie; le 1er prix à Argenteuil pour les Abattoirs; le 3e prix à Asnières pour les groupes scolaires; le 3e prix à Provins pour les halles de la ville. Mais il intervient aussi plus loin, en province (Langres, Saint-Flour, Nevers, Autun, Montpellier, Avignon, Agen) et même en Algérie qui est alors une colonie française.
Bourgeois expose aussi régulièrement au Salon [2] des projets qui concernent pour l’essentiel des architectures publiques : écoles, marchés, abattoirs, hôpitaux…

Les trois volumes de La Villa Moderne (1899 – 1903 – 1910) Librairie centrale des Beaux-Arts, Paris.

par lesquels Théophile Bourgeois à fait connaître son œuvre.

Sophie Cueille lui a consacré un portrait dans l'ouvrage édité par les Cahiers du Patrimoine après l'inventaire général réalisé dans les années 1980 par les services de l'Etat, la direction régionale des affaires culturelles, et le conseil général des Yvelines. [3] En voici des extraits :

    L’architecte Théophile Bourgeois [...] exerça ses talents au Vésinet notamment pour plusieurs maisons dont l’une au 1 avenue Corot, l’autre route de Montesson. Cette dernière, qu’il désigne sous le nom de « petit hôtel » a été construite en 1910, mais l’architecture du siècle précédent: solin en meulière, élévation en brique et pierre à assises alternées, toit d'ardoise, lucarnes, frise de faïence émaillée, tous les éléments de la villa des années 1880-1890 sont présents. Quelques indices cependant nous révèlent une date plus récente: des volets de fer, des linteaux métalliques et surtout des briques monochromes vertes ou bleues. Les références historiques, déjà présentes sur les lucarnes (les tympans sont timbrés à gauche d'une hermine, à droite d'une coquille), se succédaient à l'intérieur avec une grande confusion [4]...

    […]

    Il semblerait donc que l'architecte soit un compilateur effréné de tous les styles se faisant l'écho des goûts de la société bourgeoise. Les maisons qu'il propose ne sont néanmoins jamais des pastiches, mais plutôt une juxtaposition de vocabulaires différents. Dans une villa, construite au Vésinet [5], il associe encadrements gothiques, frontons Renaissance, pignons en pan de bois néo normands, assises alternées de brique et de pierre, tour d'escalier hors-œuvre. Ses théories architecturales sont pourtant animées d'un certain modernisme. Il faut rechercher les plans dans lesquels la distribution est simple … des escaliers suffisamment spacieux … éclairés par des fenêtres ouvrantes et au besoin par un lanterneau vitré à la partie supérieure. [6]

    [...]

    Ce besoin de lumière et un regard, porté cette fois vers l'Italie, lui ont permis de réaliser l'une de ses œuvres les plus intéressantes, la villa Miraflores construite vers 1905 pour un sud-américain au bord du Grand lac [7]. Elevée en briques recouvertes d'un enduit de ciment peint en blanc, sa façade principale qui jouit de la plus belle vue, est organisée en conséquence: tour-belvédère avec bow-window, balcon, loggia et toit en terrasse ouvrent totalement la villa sur l'extérieur. On remarquera que chaque façade est dotée d'un ou de plusieurs balcons aux garde-corps de bois dont les découpes forment des silhouettes de griffons, motif que l'on retrouve sur les aisseliers qui portent les avant-toits. L'entrée latérale se fait par un porche qui rappelle celui de la villa de Guimard.

La villa Miraflores a connu un grand succès. si elle ne figure pas dans les trois volumes de La Villa Moderne, elle a été publiée par Rivoalen. [8] Elle doit son nom à un district de Lima (Pérou) dont son commanditaire était originaire.

 

Gravure publiée par Émile Rivoalen (1843-1912).

La villa « Miraflores » détache ses riantes façades blanches, émaillées de floraisons grimpantes, sur le rideau vert îles taillis du Vésinet.

L'amusante villette oppose le sursaut de sa grosse tour carrée, — telle une bastide méridionale — les garde-corps de ses toits en terrasse et les saillies de ses discrets miradors,

de ses auvents multiples, à la douce égalité de ce terrain plat, sablonneux, qui constitue le sol …[8]

 

La Villa Miraflores de nos jours (SHV, 2019)

Cet inventaire des réalisations de Bourgeois au Vésinet fut loin d'être exhaustif même si l'on y fit figurer quelques gravures de ses ouvrages, mentionnés mais non situés. Très récemment, le livre qu'Alain Dailly, du Cercle d'Etudes historiques et archéologiques de Poissy [9], a consacré à l'architecte pisciacais a réparé ces oublis et relevé une dizaine d'autres villas élevées au Vésinet entre 1890 et 1920. Et encore, cette somme ne semble pas exhaustive.

L'établissement du Docteur Raffegeau

Parmi les réalisations de Th. Bourgeois au Vésinet, une place à part doit être réservée à l'établissement d'Hydrothérapie du Dr Raffegeau, devenu aujourd'hui la clinique de La Villa des Pages.

Clinique de la Villa des Pages. Pavillon d'hydrothérapie et électrothérapie.

© (78340212) - Le patrimoine des communes des Yvelines (Tome II), Editions Flohic, 2000

Pavillon consacré aux soins par hydrothérapie et électrothérapie, il est édifié dans les toutes premières années de l'installation de l'établissement. Le bâtiment, bordé d'une balustrade, est flanqué de deux pavillons carrés au toit à larges pans ornés. Le décor est inspiré de l'ornementation des XVIIe et XVIIIe siècles. Curieusement, si cet édifice est bien connu pour les faïences de Sarreguemines qui ornent ses bassins, et s'il figure dans tous les ouvrages consacrés au patrimoine local, son attribution à Théophile Bourgeois n'apparaît jamais. Pourtant, la plaque très reconnaissable de l'architecte, certes très rouillée mais parfaitement lisible, est apposée sur sa façade depuis plus de 130 ans.

Plaque d'architecte sur la façade du Pavillon d'hydrothérapie-électrothérapie de la Clinique des Pages.

© Société d'histoire du Vésinet (JPD, 2024)

Associé à ce bâtiment, un pavillon de concierge à, lui, été retrouvé dans les publications de Bourgeois. [10] Il correspond au petit pavillon, rue Henri Dunant. Un autre pavillon de service, malgré quelques modifications au fil des ans, conserve beaucoup de similitudes avec un Chalet au Vésinet. [11] Il est situé avenue des Pages.

Constructions de Théophile Bourgeois pour Le Vésinet (La Villa moderne vol. 3)

Pavillon de Concierge (planche 83) et Chalet au Vésinet (planche 16).

 

Le docteur Raffegeau confia ensuite à Th. Bourgeois l'édification de plusieurs villas autour de la clinique. Ces « chalets » comme on les désignait alors étaient destinés soit au logement des médecins (le Dr Raffegeau et le Dr Mignon, son adjoint puis associé) soit à accueillir les familles des pensionnaires pour de courtes périodes. Après la mort du Dr Raffegeau, la clinique choisit de se défaire de ces maisons et d'édifier de nouveaux bâtiments collectifs.
Deux de ces villas ont été attribuées à Bourgeois car elles figurent dans La Villa Moderne (voir ci-dessous). Mais trois autres, très représentatives du travail de Bourgeois, pourraient bien lui revenir.

Hôtel au Vésinet (vol. 2, planche 2) et Villa au Vésinet (vol. 2 planche 6)

Théophile Bourgeois, La Villa Moderne (1903)

...

Les deux villas de la figure ci-dessus ont été représentées sur des cartes postales comme « chalet du médecin-chef » pour la première, « chalet du rond-point » pour la seconde, appartenant à l'Établissement d'hydrothérapie du docteur Raffegeau. Domicile de ce dernier depuis sa construction jusqu'au départ de la famille Raffegeau du Vésinet vers 1930, la « villa Chante-Merle » a subi par la suite de légères transformations. L'autre villa accueillait les familles des pensionnaires de la clinique.
A côté de la villa Chante-Merle, rue Jean-Mermoz, se trouvait la résidence du Dr Mignon, la « villa Gai-Ramage ». Et à côté de la villa du rond-point, avenue des Pages, se trouvait une autre villa destinée à accueillir des familles de pensionnaires. Elle aurait abrité Paul Bourget durant la fin de vie de son épouse Minnie qui mourut à la Villa des Pages en 1932.
Ces grandes villas qui présentent des analogies en terme de gabarits, d'imbrication des volumes, de formes architecturales, mériteraient d'être comparées aux constructions de Théophile Bourgeois qui composent les trois volumes de La Villa Moderne. On pourrait s'interroger aussi sur l'origine de la villa « Castel Mignon » de l'autre côté de l'avenue des Pages, en face de l'entrée du parc de la première Villa des Pages.

Autres villas de l'établissement d'hydrothérapie, contemporaines des villas de Théophile Bourgeois.

A gauche, la villa Gai-Ramage, domicile du Dr Mignon (8 rue Jean-Mermoz).

Les villas de villégiature

La villa Miraflores est à inclure dans cette catégorie, mais il y en a bien d'autres. On en dénombre 12 dans les trois volumes de La Maison Moderne et cette liste ne peut être tenue pour exhaustive puisque Miraflores n'y figure pas.

La villa Beau-séjour (Petit hôtel au Vésinet)

Planche 3, vol. 1. La villa moderne et cliché SHV (2022)

 

Mentionnée dans l'inventaire de 1986 et dans l'article de S. Cueille « Théophile Bourgeois ou les hésitations du début du siècle » cette villa située à l'angle de la route de Montesson (RD. 311) et de l'avenue Kléber, a fait l'objet de la remarque suivante : ... Cette dernière, qu’il désigne sous le nom de « petit hôtel » a été construite en 1910, mais l’architecture du siècle précédent : solin en meulière, élévation en briques et pierre à assise alternée, toit d'ardoise, lucarnes, frises de faïence émaillée, tous les éléments de la villa 1880-1890 sont présents.
En fait, la présentation (planche à l'appui) de cette villa a été publiée dans le vol. 1 de La Villa Moderne, donc avant 1899 et la planche porte le n°3.

La villa Beau-Séjour (le nom est encore lisible dans les ferronneries du portail) fut le domicile d'Eugène Schott qui fut conseiller municipal du Vésinet et qui connut une certaine notoriété pour avoir créé l'Abiétinée de Nancy.

 

Villa à Villennes, Triel et au Vésinet – La Villa Moderne (vol. 2, pl. 8).

51, route de Montesson et 25, piste du Tour du Grand Lac.

La villa fut construite pour Alexandre Lepot, plus connu sous son pseudonyme de Delahaye (dont il fera son nom). Auteur dramatique, professeur au Conservatoire de Musique de Paris, il ne profita pas longtemps de sa villa puisqu'il y mourut le 16 juin 1896, âgé de 48 ans. Dailly mentionne dans son ouvrage une étude pour Mme Delahaye d'un cottage qui ressemble beaucoup à une maison modeste, proche de l'entrée de la propriété sur la route de Montesson. Ce pavillon est cependant assez différent de l'étude.[n]
La villa (qui fut parfois nommée villa Lepot) se trouve au fond de la propriété pour profiter, au sud, de la vue sur le lac et le site des Ibis. Elle est toujours une des plus emblématique de ce paysage auquel elle contribue à donner son caractère de villégiature. Elle n'est pas unique puisque Bourgeois en a édifié deux semblables, à Triel et à Villenne. Voici la description qu'on en faisait (~1900) qui ne tient pas compte des diverses transformations réalisées depuis :

    Les fondations sont en béton de cailloux (chaux hydraulique et sable). Les murs de caves sont en caillasse et les murs d'élévation en brique et caillasse. Les combles, les planchers et les bois extérieurs sont en sapin, les escaliers en chêne ciré « à la française », avec balustres tournés, poteaux et main courante. La couverture des combles est en ardoise violette. Un sous-sol accueille la « remise à automobile », une buanderie, une cave et des w.-c. Au rez-de-chaussée, on trouve une « Salle d'été », un porche, un hall, le salon, la cuisine, l'office et un w.-c. Au premier étage, trois chambres à coucher partagent deux cabinets de toilette et au deuxième étage se trouvent encore deux chambres de maître, une loggia, des chambres de domestique et les greniers.

De nos jours, la propriété abrite une représentation diplomatique.

..

Autres villas de Théophile Bourgeois au Vésinet présentées dans les trois volumes de La Villa Moderne.

Vol.1 pl 10 : Villa pour le Vésinet – Vol. 2 pl. 30 : Villa – Vol.3 pl. 14 : Villa au Vésinet.

 

L'inventaire de 1985 citait la villa de la planche 10 (La villa moderne, volume 1, 1899) mais sans la localiser. Dailly, semble ne pas y être parvenu car il ne la cite même pas. En revanche, il localise deux autres villas, (ci-dessus). La première au 12 allée de la Meute et l'autre au 7 allée du Lévrier (les deux parcelles étant contiguës par le fond des terrains).
De nombreuses villas du Vésinet, sans présenter le caractère monumental des édifices décrits ci-dessus et dépourvus des ornementations qui caractérisent souvent les réalisations de Bourgeois, peuvent néanmoins être soupçonnées de lui être dues. Les ornementations sont moins présentes dans les oeuvres précoces (début des années 1890) et ont aussi pu faire les frais de travaux ultérieurs. On sera donc vigilant et curieux quant à l'origine de ces maisons, souvent de grand intérêt.
S'il est difficile de définir un « style Bourgeois » sans tomber dans la caricature, on peut identifier quelques formes ou ornementations qui lui sont familières ou propres.

  • Les toits débordants avec demi-coupe qui protègent les murs de la pluie.
  • Les cabochons sur les façades et d'une façon générale une céramique architecturale décorative.
  • Les pans de bois du style néo-normand, souvent purement décoratifs (en bois, en ciment moulé, en planchettes clouées sur le mur ou seulement peints sur l'enduit).
  • Les tourelles et les tours-porches qui distinguent souvent sa production des autres architectes.
  • les maisons aux murs encadrés avec des pilastres en ciment surmontés d'un chapiteau, parfois décoré d'un cabochon.
  • Les frontons triangulaires, ou d'un triangle tronqué.

Enfin certains éléments architecturaux lui sont propres :

  • Les aisseliers ornés d'une tête de fauve ou de volatile
  • Les représentations animales, que ce soit sur les pièces de bois ou la ferronnerie

Mais, comme on l'a vu, sa production est protéiforme comme en attestent notamment les villas Miraflores, Chante-Merle et Beau-séjour (44 rue de Montesson) ou son étude de maison Louis XVI présentée par Dailly [12] issue d'archives familiales, qui rappelle le Pavillon d'Hydrothérapie de la Villa des Pages.

Absente ou presque des secteurs bâtis durant les vingt premières années du Vésinet et suffisamment présente dans les quartiers bâtis par la seconde génération de colons pour influencer le paysage, l'architecture de Théophile bourgeois fut interrompue dans son extension par la première guerre mondiale. Elle ne reprendra pas après. Architecture encore attachée au passé, d’un grand raffinement, elle va disparaître devant les nouveaux modes de construction.

Le Momument aux morts du cimetière

On doit pourtant à l'architecte pisciacais un important monument communal (qui paradoxalement ne se trouve pas sur le territoire de la commune). C'est le Monument aux morts du cimetière.
Dès 1916-1917 une souscription publique avait été ouverte pour réaliser un tel monument. Par décision du conseil municipal de mars 1921, le projet présenté par Théophile Bourgeois et M. Landsmann, marbrier à Saint-Germain-en-Laye, fut choisi par onze voix contre cinq. D'après les élus, « il réunit dans sa simplicité l'élégance et la gravité qui symbolise l'objet pour lequel il est destiné ». La souscription a rapporté 35 000 francs et les deux lauréats « ont à cœur d'élever à nos chers amis, un monument digne de leur courage et avec toutes les concessions de prix qu'il soit possible de faire ».
L'inauguration eut lieu le dimanche 28 mai 1922.
Le monument se compose d'un socle trapu surmonté d'une pyramide avec couronnement entourée par huit bornes, deux par pans coupés, reliées entre elles par de grosses chaînes, surélevé du sol à la partie basse par deux marches aux quatre entrées. La base du socle est garnie d'une vasque formant porte-fleurs, les fleurs de la Victoire ; au dessus, jusqu'à la pyramide, le socle avec moulurations de forme octogonale comporte le nom des morts de 1939-1945, d'Afrique Française du Nord (AFN) et d'Indochine. Les quatre grandes faces du socle mentionnent les victimes de 1914-1918.
Surmontant ce socle, la pyramide avec pans coupés est couronnée par une forte astragale. Sur la face principale, les sculptures de la croix de guerre et d'une palme avec au pied les dates 1914-1918.
Le tout est en pierre d'Euville dans la Marne. La crypte est prévue pour contenir trente cercueils.

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    Notes et sources :

    [1] Sageret, Annuaire du bâtiment des travaux publics et des arts industriels, Paris, 1903.

    [2] Il participe aux Salons de la Société de l’art français en 1889, 1891, 1892, 1894, 1896, 1897, 1898, 1901 et 1902.

    [3] Sophie Cueille, « Théophile Bourgeois ou les hésitations du début du siècle », Le Vésinet. Modèle français d’urbanisme paysager 1858/1930, Cahiers de l'Inventaire 17, Paris, Association pour le patrimoine de l’Ile-de-France, 1989.

    [4] Bourgeois, Théophile, La Villa Moderne, Librairie centrale des Beaux-Arts, Paris (vol.1) 1899 ; (vol, 2) 1901 ; (vol. 3) 1910.

    [4a] Ibid. (vol. 1) pl. 3, petit hôtel au Vésinet, pl. 10, villa pour le Vésinet, pl. 52, dépendances au Vésinet, pl. 100, salle de billard au Vésinet.

    [5] Ibid., pl. 10, non localisée.

    [6] Ibid., pl. 5.

    [7] Il s'agit de l'ancien consul général du Pérou en France, Alejandro de Ydiaquez (ou Idiaquez) qui avait été accrédité par son gouvernement pour représenter le Pérou à l’Exposition universelle de 1889 et fait chevalier de la Légion d’honneur en 1901. Il a quitté le Vésinet après son mariage en Belgique en 1904.

    [8] Rivoalen, Émile. Petites maisons modernes de ville et de campagne (Georges Fanchon éd., Paris, 1901).

    [9] Dailly, Alain. Théophile Bourgeois, architecte à Poissy. CEHA, 2024.

    [10] Bourgeois, Théophile, La Villa Moderne. Librairie centrale des Beaux-Arts (vol. 3), Paris, 1910, pl. 83.

    [11] Ibid., pl. 16.

    [12] Dailly, Alain. Ibid. p. 316.

     


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